|
sommaire_general
|
Le nouveau Colisée
...
ou la subversion par les loisirs
(2 de 4)
Page
1 2
3
4
Oui, "ils" se f... de nous et veulent même nous forcer à devenir des rats de laboratoire
en testant sur des masses saines, mais un peu trop confiantes, des vaccins expérimentaux (1)
qui handicapent et tuent des foules hélas ! nombreuses. Une récente étude parue le 30 avril 2021
dans la revue à comité de lecture PM&R, révèle que quasiment la moitié des malades qui survivent
au COVID quittent l’hôpital dans un état plus grave qu’en y entrant ! Une équipe du Michigan Medicine
a aussi révélé que 45 % des survivants qui reçoivent leur congé de l’hôpital repartent diminués, oui, gravement diminués...
Eric Clapton, en scène depuis 1962, a raconté le 16 mai 2021
les ‟réactions désastreuses” qu’il a eues après la première
et la deuxième dose d’AstraZeneca : ‟Mes mains et mes pieds
étaient gelés, engourdis ou brûlants, vraiment hors de service.
Je craignais de ne plus jamais pouvoir re-jouer de la guitare !”
(Article paru dans la revue Rollings Stones).
Peu après que ces mots eurent été prononcés et
malgré les décès nombreux dus au vaccin, les AstraZeneca
ont eu le monstrueux culot de prétendre ‟que les avantages
de ce vaccin anti-COVID-19 contrebalancent ses risques
chez la majorité des personnes qui le reçoivent.”
Serait-ce par pur hasard que le film Contagion sorti en 2011 montre tous les symptômes
du Coronavirus et la boule pleine de pointes qui le caractérisent ?
Est-ce encore par hasard que les deux versions du film Pandemic (2016 et avril 2020)
annonçaient tout ce qu’on voit dans la réalité depuis plus d’une année ? Le film Songbird
(2020) présente d’autres horreurs (à venir ?) de la folie covidienne.
Quant aux deux films Don’t Breathe ("Ne respirez pas"), dont le premier est sorti en 2016
et le deuxième est prévu pour août 2021, leur titre seul évoque le port obligatoire
et étouffant du masque et souligne à loisir la mort par asphyxie...
Ces films précurseurs sont-ils réalisés par quelques visionnaires ou,
plus plausiblement, par de vrais initiés du noir Pouvoir Occulte exploitant
la puissance de la fiction filmée sur l’inconscient des foules ? Le champ
illimité que lui ouvrent ces films lui permet de 1) faire connaître leur cause
et briller leur image – littéralement luciférienne – de Porteurs de Lumière
tout en restant cachés dans l’ombre protectrice ; 2) diffuser leurs idées
et leur vision du monde sous des formes aguichantes par des héros sensuels
que la jeunesse, conqui se, imite passionnément ; 3) enseigner les principes
du néo-paganisme, foi nouvelle pour un ordre nouveau ; 4) informer le public
de façon indirecte de l’étape où se trouve l’évolution du plan, montrant
régulièrement des situations réelles avant qu’elles se produisent ; 5) désinformer les foules en
leur brouillant les pistes si elles s’approchent trop près de la réalité ; 6) prendre le pouls du
peuple pour savoir s’il est prêt pour la prochaine étape de son endoctrinement
et pour tester sur lui les idées les plus folles ; 7) procurer au Porteur de lumière,
leur patron, la joie de narguer Jésus-Christ en Lui disant :
‟J’ai lancé mes filets partout, vraiment partout et jusque dans la chambre
rose des innocents. Tous ont goûté l’appât et beaucoup ont mordu avec
tant d’appétit qu’au lieu de Te prier, ils se plongent jour et nuit
dans mes poubelles exquises !”
Le rôle annonciateur que jouent ces productions, notamment les films dystopiques,
présente à un public dénué de tout ancrage moral et spirituel des horizons bouchés,
sombres, décourageants, qui le démoralisent et favorisent chez lui un fond de
pessimisme débouchant sur la peur et même le désespoir. Ce courant déprimant
avait été lancé au cours des années 1930 par des membres de l’École de Francfort
installés à Hollywood dans le cadre d’un "Projet de Pessimisme Culturel"
parallèle aux projets de guerre psychologique de la British Fabian Society.
Il est aisé alors, dans ce climat mental obscur et oppressant,
de provoquer la peur en "lâchant" quelque monstre terrible et menaçant,
dont l’actuelle pandémie offre un parfait exemple. Dès lors qu’on fait planer
un danger vrai ou faux, les masses épouvantées acceptent rapidement des choses
qu’elles rejetteraient sans une hésitation dans leur état normal. Fait significatif :
le Grand Prix du jouet 2020 a été décerné à un jeu très lugubre classé "jeu de famille",
Fiesta de Los Muertos, reprenant à son compte une étrange Fête des Morts célébrée
au Mexique autour du 2 novembre, mais sans rien de commun avec la commémoration catholique des défunts.
En outre, les grands noms d’Hollywood semblent très bien connaître les sociétés secrètes,
leur façon de penser, leur mode opératoire, leurs symboles et leurs buts. Cette connaissance,
pourtant, n’est pas celle de profanes très bien documentés. C’est la connaissance fine et pointue
de personnes du milieu, d’insiders, d’initiés qui font la promotion de leurs cercles fermés.
Ils redorent le blason des sociétés secrètes, les blanchissent sans scrupule en les faisant
passer pour des cercles bénins ou des loges bienfaisantes très dignes d’attirer les sujets
riches, en vue, influents et futés afin de s’en servir et de grossir leurs rangs.
L’Ordre du Phénix dans les aventures d’Harry Potter est une société secrète
à laquelle les sorciers et tout le monde ordinaire (!) doit d’avoir échappé
au plan de destruction de l’affreux Voldemort. Trois films sont consacrés aux
Skull & Bones, société bien réelle opérant dans les milieux universitaires et
dont ont fait partie George Bush et John Kerry, deux candidats aux présidentielles
américaines de 2004. Quant aux Illuminati, ils sont mentionnés dans un grand nombre
de films, séries télévisées, chansons, jeux etc., où ils sont présentés sous un jour
très flatteur, alors que bien des guerres et des révolutions leur sont attribuées...
Et vive la propagande !
Dans trop de productions, il suffit de mettre des noms réels sur les noms fictifs
pour reconstituer des situations vécues. Ce genre de manigances est d’ailleurs bien
dans le style des sociétés secrètes. Il est toutefois certain qu’Hollywood, infâme
propagateur de l’esprit de l’Antéchrist, emploie des innocents qui ignorent tout ce
que font leurs chefs dans le secret, car seuls les décideurs dans cette boîte à
cauchemars (improprement appelée "la machine à rêver", The Dream Machine)
adhèrent silencieusement à ce Pouvoir Occulte qui gouverne le monde par manipulation.
Hésite-t-on à montrer des films "surnaturels", c’est-à-dire diaboliques,
où d’authentiques esprits impurs et démoniaques sont appelés et "filmés"
dans leurs plus effrayantes manifestations ? Quelques titres de 2021 se passent
de commentaire : Separation, the Conjuring, Encanto, Venom (Let there be Carnage,
Que le carnage soit !). Et l’on maintient encore que la planchette ouija, vieille
invention spirite destinée aux spirites, n’est qu’un jeu, juste un jeu !
Les témoins des horreurs que ce "jeu" a causées se font dire qu’ils imitent
le film l’Exorciste, alors que le film lui-même s’inspire d’une histoire vraie…
Planchette ouija
Aujourd’hui encore, quatorze ans après la sortie du 7e et dernier livre, Harry Potter,
série empoisonnée, passe toujours pour un "conte moderne" !
Pourtant, les rescapés des antres de Satan y voient un vrai manuel
d’enseignement occulte. ‟Assez ! explose la foule. Arrêtez cette croisade
contre les courants d’air !” Pourtant, foule aveuglée, si vous vouliez
seulement vous servir du cerveau que Dieu vous a donné tout en Lui demandant
d’éclairer votre lampe, vous prendriez conscience de deux faits horrifiants :
1) ceux qui ont fait Potter et autres saloperies s’attaquent directement
aux âmes de vos enfants et 2) ces mêmes tueurs de masse préparent aussi
pour vous, sous divers bons prétextes, une affreuse hécatombe.
Ils vous préparent en douce un holocauste mondial.
‟Il y a maintenant 6,8 milliards d’habitants sur la terre, déclarait
en février 2010 Bill Gates, apôtre déclaré de ce noir génocide.
Mais si nous travaillons très bien sur les nouveaux vaccins,
les services de santé et de reproduction [euthanasie, avortement],
nous pourrons diminuer ces chiffres d’environ 15 %.” Le premier commandement,
littéralement mortel, du Nouvel Ordre Mondial, est gravé dans le granite
des Guidstones d’Elberton, en Géorgie : ‟Maintenir le nombre d’habitants
de la terre à moins de 500 millions”. Il faut s’y conformer en tuant le plus de monde.
Bill Gates, en 2010 / Les Guidestones de Géorgie.
Les créateurs de cet étrange monument, construit et orienté avec la précision des vieux
temples égyptiens et entouré d’une épaisse et lourde ambiance occulte, s’enveloppent
du même mystère dont s’entourent constamment les sociétés secrètes. Donc, la mort
morale pour la jeunesse appelée à servir le Nouvel Ordre Mondial et le grand balayage
(eugénisme) pour ces "bouches inutiles" que sont les personnes âgées, handicapées
qui s’obstinent à vivre et les milliers de bébés qui s’entêtent à naître pour
polluer la planète. Il faut que disparaissent ceux qu’ "ils" appellent ‟les hordes vulgaires,
les profanes, ou la vile multitude”.
À propos de rouages, comment procède-t-on donc pour polluer les esprits en truquant,
par exemple, la construction d’un livre ou d’un scénario de film ? Les techniques
sont diverses, mais toutes comprennent deux choses : 1) une intrigue de surface
que le public absorbe au premier degré, donc sans arrière-pensée ; 2) un fond
subliminal où se trouvent insérés les messages à planter dans le subconscient humain.
Dans les grandes productions dont les Réformateurs attendent un coup de filet au-delà
de l’ordinaire, des influences occultes sont souvent ajoutées pour renforcer l’effet.
Quant aux films et jeux d’horreur, qui entrent de plain-pied dans l’univers occulte,
ils sont, par leur nature, des aimants très puissants pour les esprits impurs,
qui s’y invitent sans gêne, donc des démons qui causent des incidents bizarres,
souvent inexplicables et toujours désastreux… Les Manipulateurs, jouant avec
talent sur le fond et la forme, créent ainsi des héros et un cadre adaptés à
l’idée qu’ils désirent faire accepter au peuple et en plantant partout, à
pleines mains, leurs symboles. Plusieurs sites maçonniques publient avec
fierté les produits culturels où figurent ces symboles, ce qui remonte
parfois jusqu’aux années 1950 ! (2)
Page
1 2
3
4
|
-
MENU DE LA RUBRIQUE "SOCIÉTÉ ET RELIGION" -
www.revueenroute.jeminforme.org
Site produit par la revue "En Route".
Autorisation de diffuser ce document, avec mention de la source.
|
|
PRÉCÉDENTE 