Méditation sur l'Assomption de la Vierge Marie, écrite par un prêtre.
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L'Assomption de la Vierge Marie

(Image de la Vierge Marie)


Qui est ma mère ?... Quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est ma mère. (Mt)


À travers cette parole, Notre- Seigneur veut relever une caractéristique de la très Sainte Vierge que nous devons imiter.

Saint Jean Chrysostome écrit :

‟Jésus ne prétend pas rebuter sa mère ; il prétend seulement établir que sa maternité ne lui servirait de rien sans la foi et sans la vertu. Mais s'il n'eut servi de rien à Marie, sans la vertu, d'avoir mis au monde le Christ, il ne nous servira de rien à nous également d'avoir un père, un frère, une mère, un enfant remarquables par leur vertu, si nous-mêmes ne les imitons pas.”

C'est ainsi que Notre-Dame, après l'ascension de son divin Fils, continua son ascension intérieure jusqu'aux plus hauts sommets de la sainteté, par la pratique de la sainte volonté de Dieu. Notre perfection est également dans la pratique ardente de la volonté de Dieu !

Du haut de la croix, Notre- Seigneur avait clairement manifesté à la très Sainte Vierge la voie de sa perfection, la volonté du Père : sa maternité spirituelle. Si le Bon Dieu l'a laissée une vingtaine d'années auprès de l'Église naissante, c'était pour que, par sa prière, ses exemples et ses conseils, elle forme l'Épouse du Christ, l'Église.

Aussi, tous les jours, elle assistait avec foi et piété à la sainte messe auprès de saint Jean, communiait et appliquait les mérites du Sauveur sur toutes les âmes qu'elle aurait à enfanter au cours des siècles.

Elle réalisait d'une manière parfaite ce que sainte Thérèse a entrevu comme étant sa mission :

‟Considérant le corps mystique de la sainte Église, je ne m'étais reconnue dans aucun des membres décrits par saint Paul, ou plutôt, je voulais me reconnaître en tous. La charité me donna la clé de ma vocation :

Je compris que si l'Église avait un corps, composé de différents membres, le plus nécessaire, le plus noble de tous les organes ne lui manquait pas. Je compris qu'elle avait un cœur, et que ce cœur était brûlant d'amour.

Je compris que l'amour seul faisait agir ses membres, que si l'amour venait à s'éteindre, les apôtres n'annonceraient plus l'Évangile, les martyrs refuseraient de donner leur sang. Je compris que l'amour renfermait toutes les vocations ; que l'amour était tout, qu'il embrassait tous les temps et tous les lieux parce qu'il est éternel.

Alors, dans l'excès de ma joie délirante, je me suis écriée : Ô Jésus, mon amour, ma vocation je l'ai enfin trouvée, ma vocation c'est l'amour. Oui, j'ai trouvé ma place au sein de l'Église, et cette place, ô mon Dieu, c'est vous qui me l'avez donnée : dans le cœur de l'Église, ma mère, je serai l'amour !... Ainsi, je serai tout.”

Notre-Dame offrait ainsi, en union avec la divine Victime, chaque battement de son cœur qui soutenait toutes ses actions, ses paroles, ses prières, pour ses innombrables enfants.

Chaque jour, elle méditait toutes les étapes, les paroles de son divin Fils, et elle en recueillait les fruits qu'elle déposait dans les mystères du Rosaire pour ses enfants qui viendraient, tout au cours des siècles, butiner sur ces fleurs célestes. À chaque instant, elle s'unissait et offrait l'adoration, l'action de grâce, la prière, la satisfaction de son divin Fils pour les âmes.

Quel merveilleux exemple, que nous devons chercher à imiter !

À travers ces quelques années, notre bonne Mère a entrevu les joies, les épreuves et les faiblesses de ses enfants tout au cours des siècles.

Les apôtres aimaient lui faire un rapport détaillé sur leur ministère, sur l'extension du règne de Dieu dans les âmes. Ils confiaient à sa prière leurs projets apostoliques. À cela, la reine des apôtres glissait quelques conseils qui étaient toujours gardés comme un trésor de sagesse.

Quant aux fidèles, ils se faisaient un honneur de la visiter, et jamais ils ne repartaient sans être meilleurs, sans quelque lumière salutaire, sans une humilité plus profonde, sans un amour plus intense.

Marie savait tout des peines et des joies de l'Église militante, comme elle sait tout aujourd'hui dans la lumière divine. D'un mot ou même d'un regard, elle encourageait les faibles, elle stimulait les âmes généreuses, elle intercédait pour les pécheurs. Elle était vraiment le "secours des chrétiens", la "Mère du bon conseil", la "consolatrice des affligés", la "cause de notre joie".

Sachons nous confier souvent à celle que notre divin Sauveur nous a donnée comme Mère !


La mort de Notre-Dame


Les Grecs emploient l'expression de "dormition" pour signifier toute la douceur de cette mort. Le sacramentaire grégorien nous dit, dans la collecte de l'Assomption : ‟C'est le jour où la sainte Mère de Dieu a subi la mort temporelle et n'a pu être retenue par les liens de cette mort, elle qui avait engendré (l'auteur de la vie) de sa chair, votre Fils”.

La très Sainte Vierge choisit de mourir pour se conformer à son divin Fils, car n'ayant pas le péché originel, elle ne devait pas en connaître les conséquences : la souffrance et la mort.

Saint Jean Damascène écrit : ‟Elle fut assujettie à la loi, portée par celui qu'elle engendra, et comme fille du vieil Adam, elle dut subir l'ancien arrêt car son Fils, lui qui est la vie par essence, ne l’a pas même évité.”

Acceptant de passer par la mort, gratuitement, par amour de Jésus et de nos âmes, Marie est un grand modèle pour nous. Avec elle, nous devons non seulement accepter cette mort réparatrice, avec les circonstances que la Providence voudra, mais encore la vouloir, pour imiter Jésus et Marie.

Pour nous, c'est justice, pour eux, c'était pure bonté !

Si l'on voit des morts très paisibles, que dire de celle de la très Sainte Vierge ! Lorsqu'elle atteignit le suprême degré d'amour et de mérite qu'il soit possible à une pure créature d'atteindre, elle s'endormit dans le plus bel acte d'obéissance et d'amour.

On peut penser que c'est après la sainte communion reçue de la main de saint Jean, que sa sainte âme passa de cette terre au ciel. Du haut du ciel, Jésus l'appela en lui disant : ‟Tu es toute belle, et aucune tache n'est en toi ; viens, ma soeur, mon épouse, mon unique, viens du Liban et tu seras couronnée.” (Ct. 4, 7-8)

Et Marie passa de ce monde à l'autre, du temps à l'éternité, du sommet de la grâce au sommet de la gloire.

Les anges l'accompagnaient en chantant avec émerveillement et bonheur : ‟Quelle est celle-ci qui monte du désert comme une colonne de fumée d'aromates, de myrrhe, d'encens et de toutes sortes de parfums ?” (Ct. 3, 6)

En un instant, Marie fut plongée dans le face à face avec les trois personnes divines et entra dans la céleste béatitude, dans un océan de bonheur.

Sur terre, il est probable que tous les apôtres furent là pour veiller auprès de ce précieux tabernacle que fut le corps très pur de Marie. Certes, il était vide, mais il répandait cependant des parfums qui sont du ciel. Les apôtres furent partagés entre le déchirement de la séparation et la joie de penser que Jésus et Marie étaient réunis pour toujours.

Bientôt, le corps très précieux de Marie est déposé dans un sépulcre neuf, dans la vallée de Josaphat.

Tout cela nous rappelle le respect que nous devons avoir envers notre corps, envers les corps qui sont des vases consacrés au moment du baptême, et qui vont retrouver vie au moment de la résurrection. En effet, nous retrouverons notre corps, et non un autre. Ce respect implique la modestie mais aussi l'ascèse, car le corps est au service de l'âme.


La résurrection et l'Assomption de Notre-Dame


L'Immaculée, qui n'avait pas connu la corruption du péché, ne devait pas connaître la corruption du tombeau.

Saint Modeste, évêque de Jérusalem, écrit : ‟Ô bienheureuse dormition de la Vierge ! Vous n'avez supporté dans le sépulcre aucune corruption du corps où la vie avait été enfermée.”

Saint Germain de Constantinople ajoute : ‟Comment la corruption de la chair aurait-elle pu vous réduire en cendre et en poussière, vous qui avez libéré le genre humain de la corruption de la mort, par la chair du Fils qui est né de vous !”

Si Dieu avait voulu, tout en sortant du sein de sa Mère, garder son intégrité, sa virginité, il est clair qu'il ne pouvait permettre que le temps corrompe ce temple saint.

On peut penser, avec saint Jean Damascène, que l'âme de la Vierge reprit son corps le troisième jour, pour monter au ciel en corps et en âme. C'est le dogme de l'Assomption.

Cette vérité était crue avant cette définition puisqu'elle plonge ses racines dans le récit de la Genèse (3, 15) et dans la salutation de l'ange (Lc 1, 28).

Le concile de Vatican I, la présente ainsi :

‟Pour que le triomphe de Marie sur les embûches du démon soit complet, et pour que la Vierge soit indissolublement unie au Christ, il ne suffit pas que la Mère de Dieu triomphe du péché et de la concupiscence ; il faut encore qu'elle terrasse la mort entrée dans le monde par la jalousie du démon.

Aussi, les Pères du Concile n'hésitent pas à voir dans cet oracle de la Genèse, la promesse d'une triple victoire pour Marie comme pour le Christ : victoire sur le péché par l'Immaculée Conception, victoire sur la concupiscence par la maternité virginale, victoire sur la mort par la résurrection anticipée.”

On peut penser que c'est dans la discrétion que Dieu a réuni l'âme et le corps de sa Mère. Seuls les anges seront témoins de son Assomption, et ils chantent avec émerveillement :

Quelle est celle-ci qui monte du désert, inondée de délices et appuyée sur son bien-aimé ! (Ct. 8, 5)

En ce jour, Jésus veut que la joie inonde le ciel, la terre et le purgatoire. C'est un jour d'allégresse ! Sur la terre, les justes tressaillent de bonheur sans en savoir la cause ; au purgatoire, de nombreuses âmes sont délivrées, d'autres connaissent un moment de répit dans leurs souffrances ; au ciel, jamais plus belle fête n'avait été organisée en dehors de l'Ascension. Marie traverse chaque hiérarchie des anges, chacun lui chante toute son admiration, son amour, sa fidélité. Et Marie répand des trésors de grâce en chacun d'eux.

Elle monte toujours plus haut et s'assied enfin auprès de son divin Fils pour y régner en reine, sans cesser d'être mère. Saint Jean Damascène s'écrie :

‟L'arche sainte et animée du Dieu vivant, qui conçut et renferma en elle son Créateur, repose aujourd'hui dans le temple du Seigneur (…) Aujourd'hui, le céleste Eden reçoit le paradis animé du nouvel Adam ; où notre condamnation a été révoquée, l'arbre de vie planté.”

Notre Mère, celle qui nous a enfantés dans la douleur au pied de la croix, celle qui nous nourrit de la grâce et de la vérité, est désormais au ciel en corps et en âme. Notre coeur devrait s'y élancer souvent ; c'est la prière de la messe : ‟Ô Seigneur, faites que sans cesse tendus vers les choses d'en haut, nous méritions d'avoir part à son triomphe.”


Marie conservait et repassait dans son cœur tous ces événements. (Lc)


Si Notre-Dame aima tout au cours de sa vie méditer les paroles et les événements de son divin Fils, aimons nous aussi repenser souvent aux paroles de notre bonne Mère.

Sa vie spirituelle devrait déterminer notre ligne de conduite.

Il ne fait aucun doute que les apôtres, les disciples, les saintes femmes, après la séparation d'avec la Mère de Jésus, aimaient parler des exemples et des paroles qu'elle leur laissait.

On pourrait évidemment parler ici de ses vertus si profondes et si discrètes, on pourrait approfondir ses paroles qui traduisent si bien sa vie intérieure (Ecce ancilla, Fiat, Magnificat, Ils n'ont plus de vin) ; mais je voudrais porter votre regard plus haut, c'est-à-dire méditer ce que Dieu lui-même a dit de sa vie spirituelle.

Ces proclamations divines sont au nombre de trois :

– Tout d'abord, Dieu, inspirant l'ange Gabriel, proclame sa sainteté unique et inimitable : ‟Je vous salue, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre les femmes”. (Lc 1, 28)

C'est l'ange qui salue Marie, manifestant qu'elle est plus digne que les anges, qu'elle est la reine des anges.

Son nom, ce qui la caractérise aux yeux de Dieu et puis des hommes, c'est sa plénitude de grâce. Ainsi, quand nous prononçons le nom de Marie, nous devons penser – et nous en réjouir – à ce privilège qui, finalement, est pour le salut et la perfection de nos âmes.

Le Bon Dieu a réalisé ce chef-d’oeuvre de perfection pour, par elle, nous donner sa vie et une étincelle de ses perfections. Merci mon Dieu de votre plan si beau et si bon !

Saint Thomas commente : ‟La bienheureuse Vierge est pleine de grâce, et sa plénitude dépasse celle des anges.

Aussi, est-ce à juste titre qu'on l'appelle Marie, car ce nom signifie "éclairée en elle-même et celle qui éclaire les autres". Voilà pourquoi on compare Marie au soleil et à la lune (…)

Elle est la Mère du Seigneur et par suite "Souveraine". Aussi le nom de Marie lui convient tout à fait, car Marie, dans la langue syrienne, signifie "Dame".

Ce nom désigne encore "Étoile de la mer". C'est par l'étoile de la mer que les navigateurs se dirigent vers le port ; pareillement, c'est par Marie que les chrétiens se dirigent vers la gloire de la patrie céleste.”

– Ensuite, le Saint-Esprit inspira sainte Élisabeth qui s'écria : ‟Bienheureuse êtes-vous, vous qui avez cru, car ce qui vous a été dit de la part du Seigneur va s'accomplir.” (Lc 1, 45)

C'est devant l'exercice de la foi que Notre-Seigneur s'émerveilla plusieurs fois, car cette vertu manifeste la confiance la plus absolue de la créature envers le Créateur. Dieu loua la foi d'Abraham, car cette foi ne reposait sur rien d'humain puisqu'il n'avait pas de descendance.

Pour Notre-Dame, il n'y avait aucune référence possible à cette conception miraculeuse d'un Dieu qui voulait épouser en son sein la nature humaine. Quel mystère que celui de l'Incarnation ! Quelle foi extraordinaire en Notre-Dame !

Notre foi, aujourd'hui, est exercée en particulier à la messe où le sacrifice de Notre-Seigneur est actualisé sans que nos sens entrevoient quelque chose.

Notre foi est exercée encore par la prolifération du mal et de l'erreur dans l'Église, alors que Dieu est tout-puissant, que l'Église est et demeure sainte et immaculée.

Demandons bien à Notre- Dame une participation à sa foi.

– À Capharnaüm, Notre- Seigneur relève une disposition habituelle de sa Mère : ‟Voici ma mère ! (…) Celui qui écoute ma parole et fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, voilà ce qu'est ma mère.” (Lc 8, 21 et 11, 28)

Notre-Dame est une âme contemplative, elle nous invite à méditer la parole de Dieu, les exemples de son divin Fils, pour penser et vivre en conformité avec ce que Dieu attend de nous. Les saints trouvaient dans la sainte Écriture les lumières et les exemples pour vivre chrétiennement.

Plus l'esprit et les modes qui animent le monde sont éloignés du christianisme, plus il nous est nécessaire de suivre l'exemple de la très Sainte Vierge. D'ailleurs, notre perfection ne se trouve pas en dehors de la sagesse de Dieu qui nous est révélée dans l'Évangile. L'Imitation de Jésus-Christ nous dit très justement que c'est en pratiquant l'Évangile qu'on comprend mieux Marie : ‟Voulez-vous comprendre parfaitement et goûter les paroles de Jésus-Christ ? Appliquezvous à conformer toute votre vie à la sienne.” (Livre 1 ch. 1-1, 2)


Pourquoi le dogme n'a-t-il été défini qu'en 1950 ?


Le pape Pie XII nous donne cinq raisons que nous pouvons méditer.

– En raison du matérialisme athée qui conduit à la ruine temporelle et éternelle. À Fatima, Notre-Dame disait que la Russie répandrait ses erreurs dans le monde tant que la consécration demandée ne serait pas réalisée. Cela doit être une intention de prière. (1)

– Pie XII rappelle la nécessité de la pénitence pour ‟laver le monde de ses péchés”.

Si Notre-Dame a eu tous ses privilèges, c'est bien en vue du sacrifice expiatoire auquel nous devons participer. Elle-même en est le fruit le plus parfait, mais par anticipation.

– Le pape s'étend largement sur la sanctification de la famille qui est tout l'espoir de l'Église. Mais pour cela, il ne faut pas laisser les modes corruptrices la souiller.

C'est de la sainte Famille qu'est sorti le Sauveur ; aussi il nous faut prier Notre-Dame de l'Assomption à cette intention.

– La quatrième intention rejoint son encyclique "Humani Generis" qu'il écrivit quelques mois avant pour condamner le relent de modernisme dans l'Église. À travers cette fausse philosophie, ce sont les hommes d'Église qui repensent la religion avec les idées révolutionnaires du monde.

Notre-Dame a toujours triomphé des hérésies, et chaque proclamation officielle de ses privilèges est l'occasion d'une pluie de grâces sur l'Église. Prions à cette intention !

– Enfin, Pie XII recommande la sanctification du clergé, car si le sel s'affadit, c'est tout le peuple chrétien qui est en danger. C'est Notre-Dame, Mère du souverain Prêtre, qui monte au ciel, aussi, prions-la pour ceux qui continuent d'exercer le sacerdoce de Notre-Seigneur sur la terre. ■

(1) Au moment où le prêtre (l'auteur) a écrit cette méditation, le pape François n'avait pas encore consacré la Russie au Coeur Immaculé de Marie. Cependant, cette intention de prière demeure d'actualité car, de l'avis des spécialistes de Fatima, la consécration du pape François ne rencontrait pas complètement toutes les conditions établies par Notre-Dame, lors de sa demande. (Note de la revue En Route)

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Téléchargez gratuitement le livret d'où est extraite cette méditation, au lien suivant :
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prieres_liste.php#livret_15mysteres_Rosaire



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