M.J. Stovell, savant connu
pour son athéisme, travailla des années dans le
domaine de l'atome. À cet effet, il parcourut des
voies inconnues jusque-là, qui modifièrent ses
conceptions.
‟J'étais un athée cynique qui
croyait que Dieu n'était pas autre chose qu'une
représentation de l'esprit humain…
Un jour, dans le grand
laboratoire de pathologie d'une clinique, je
m'occupais à mesurer les longueurs d'onde et de
force des radiations émises par le cerveau: nous
voulions examiner ce qui se passe dans le cerveau
humain au moment du passage de la vie à la mort.
Dans ce but, nous choisîmes une femme aux portes de
la mort atteinte d'un cancer du cerveau.
Cette femme était tout à fait
saine d'esprit, sa sérénité et son amabilité
journalière frappaient mais, corporellement, son
état était des plus graves. Nous savions qu'elle
allait mourir, et elle le savait aussi; cette femme
était croyante.
Peu avant sa mort, nous
plaçons donc dans sa chambre un appareil
enregistreur très sensible pour les mesures
cérébrales et sur le lit un microphone pour entendre
ses dernières paroles, puis nous nous sommes placés
dans une chambre contiguë à la sienne. Nous étions 9
savants sceptiques, parmi lesquels j'étais
certainement le plus endurci; nous attendions devant
nos instruments, attentifs.
L'aiguille de l'appareil, à
zéro, pouvait atteindre 500 degrés à droite en
position positive et 500 degrés à gauche en position
négative. Pour donner une idée, la diffusion d'un
poste radio dont les programmes étaient diffusés
avec une force de 50 kilowatts, bref une émission
capable de couvrir tout le globe, faisait marquer
sur cet appareil une mesure positive de 9 degrés.
Les derniers moments de la
malade arrivent. Soudain, nous l'entendons qui prie
et loue Dieu: elle demande de pardonner à tous ceux
qui ont été injustes avec elle dans sa vie. Elle
disait ensuite: "Je sais, Seigneur, que Tu es la
seule source de force authentique pour toutes les
créatures, et que Tu le resteras". Elle Le
remerciait pour la force avec laquelle Il l'avait
soutenue sa vie durant, et pour la certitude qu'elle
avait d'appartenir à Jésus; que, malgré ses
souffrances, son amour pour Lui n'avait jamais
vacillé. Et, à la pensée que ses péchés lui seraient
pardonnés par le Christ Jésus, une joie
indescriptible rayonnait de ses paroles: elle
éclatait en effet de joie à l'idée que bientôt elle
pourrait voir son Sauveur!
Remués, nous restions devant
nos appareils, oubliant à vrai dire ce que nous
voulions examiner. Tout à coup, pendant que cette
femme priait toujours, nous entendons tinter notre
instrument; c'est alors que nous vîmes l'aiguille
atteindre 500 degrés positifs et toujours basculer à
la limite: la force de rayonnement devait dépasser
notre échelle. Nous faisions pour la première fois
une gigantesque découverte: le
cerveau d'une femme mourante qui était en liaison
avec Dieu déployait une force 55 fois plus forte que
n'importe quelle émission d'ondes radio!
Pour conduire nos expériences
plus loin, nous choisissons, cette fois, un homme
lui aussi malade. Une fois nos appareils installés,
lorsqu'il commença à réagir, ce fut en grognant et
en jurant; la différence était telle que nous
l'entendions abuser du Nom de Dieu d'une façon
infâme... Et de nouveau, notre appareil tinta: nous
fûmes vraiment étonnés de constater que cette fois
l'aiguille se trouvait à 500 degrés négatifs, et
bloquée au point limite! C'est donc par de telles
mesures que nous avons pu établir de façon certaine
ce qui se passe dans le cerveau humain quand
celui-ci viole un des 10 commandements.
Ainsi est établie par des
mesures appropriées scientifiquement, et de façon
irréfutable, la force positive de l'union à Dieu,
ainsi que la force négative du renégat... Nous
établîmes rapidement la lumière sur ce fait que
celui qui oriente sa vie sur les voies de Dieu et
l'union avec Lui rayonne d'une vie divine à effets
mesurables, mais que celui qui transgresse un des
commandements divins rayonne des effets contraires,
négatifs, supérieurs à la nature habituelle humaine,
bref une force que nous pouvons appeler:
"satanique". En un clin d'œil, ma conception athée
du monde fut brisée, le ridicule de mon incrédulité
devint toujours plus clair.
Aujourd'hui, je sais... J'ai
appris à voir en Jésus-Christ mon Sauveur personnel,
je sais que l'auréole que les artistes ont souvent
peinte autour de la tête de Jésus n'est pas une
fantaisie d'artiste mais une réalité: cette force
libératrice sortait jadis de Jésus, et rayonne
encore aujourd'hui de Lui.”
_____________________
Ce texte date de 1965. Il est,
bien entendu, confirmé par des études plus récentes.
Voici, par exemple, des
extraits du rapport sur la mesure de l'énergie
spirituelle associée à la prière, du Professeur
Boguslav LIPINSKI, de Boston (USA).
Le Professeur LIPINSKI est
spécialiste des phénomènes bioélectriques, et fait
des recherches sur les maladies cardio-vasculaires à
Boston. (…) Il tente d'élucider pourquoi l'appareil
qui enregistre des énergies d'ordre physique réagit
aussi à des phénomènes spirituels eux-mêmes liés à
des lieux saints et à la prière.
Résultats et
conclusions: Des mesures furent prises dans
une paroisse en Yougoslavie. Pendant 6 jours
consécutifs, du 15 au 19 mars 1985, à divers moments
de la journée et en divers lieux, des mesures furent
établies. Dans la maison où logeait le Professeur,
elles vont de 1000 à 100 000 mR/Hr
(1). Sur un tableau où sont
notées les 50 mesures effectuées, on peut lire qu'à
certaines heures, elles montent à 1000 le 18 mars à
5h15, puis à 10 000 à 6h, 20 000 à 7h du soir, et un
sommet de 100 000 dans la "chapelle des apparitions"
à l'heure de la prière le vendredi 15 mars.
Pour établir une comparaison:
aux USA, dans des matches de hockey, et même dans
certaines églises, malgré l'enthousiasme des
partisans ou la ferveur des fidèles, le même
appareil n'enregistrait que 20 à 70 mR/Hr.
Les chiffres extrêmement
élevés enregistrés durant certaines prières, et leur
relative rapide disparition, indiquent que l'énergie
ne peut être d'origine nucléaire. Par exemple, 100
000 mR/Hr, enregistrés le 15 mars signifient que le
peuple rassemblé à l'intérieur de l'église se serait
trouvé soumis à 100 rads
(2)
de radiations ionisantes par heure. Or, la dose
maximale tolérable permise est de 0,1 rad par JOUR.
Ce peuple serait donc mort du syndrome de
post-irradiation, ce qui n'est manifestement pas le
cas. D'où il faut conclure que ce
rayonnement est d'origine spirituelle.
Il est probable et concevable
que l'intensité du rayonnement soit associée à la
pratique du jeûne, comme indiqué par la plus haute
lecture enregistrée le 15 mars, la quasi-totalité
des paroissiens de ce village ayant coutume en effet
de jeûner 2 jours par semaine, et notamment le
vendredi (…) ■
Alors, prions!
Oui, prions avec ferveur et
générosité !
______________
(1) 1000 à 100
000 mR/Hr: lire 1 à 100 Rads par heure.
(2) Rad: mesure
de la dose de radiation qui est absorbée par un
objet ou une personne.