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Quelques
moments
de réflexion
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Messages de
Jean Messager de la
Lumière
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Vu le nombre de livres, de programmes
radiophoniques et de sites sur Internet qui traitent
du sujet de la prière, il est certain qu'existe
parmi des hommes un désir ardent qui demeure depuis
des siècles. La prière enseignée par le Seigneur
Jésus donne la réponse qui correspond à votre besoin
de communiquer avec le Père.
L'oraison, c'est ouvrir la porte du Ciel.
Forcément, chacun de vous prie d’une manière
différente et malgré qu'elles soient distinctes,
c'est l'amour qui en est et doit en demeurer le
point commun. Il y a lieu de distinguer la prière
orale de la prière mentale et la prière individuelle
de la prière collective. à la condition qu’elles
soient formulées dans l’intimité de votre cœur et
avec sincérité, la prière touche le cœur du Père.
Vous viderez ainsi votre cœur et vos pensées pour
les donner à Dieu et ainsi lui confier vos
problèmes. Vous y avez aussi un temps d’écoute,
durant lequel Dieu répond dans le temps. La prière
faite avec sincérité vous conduira, sous l’influence
de la grâce, à un plus grand désir de prières. Si
vous priez journellement, vous découvrirez encore
plus, tout l’amour de Dieu.
Dans la prière, vous avez une intermédiaire très
efficace, tant auprès du Père que du Fils, il s’agit
de la Sainte Vierge Marie. De même, quand ils
présentent vos requêtes au Seigneur et tout comme
votre maman du Ciel, les Saints et les Anges
participent à la réalisation de vos prières.
La prière ne devrait pas se limiter à des heures
ou à des moments déterminés mais en permanence, elle
devrait accompagner votre vie. Ainsi elle déploiera
son activité sans relâche nuit et jour.
Soyez certains que vous pouvez tous, qui que
vous soyez, que ce soit personnellement, dans les
communautés ou encore dans les groupes de prières,
aider par l'oraison ceux qui souffrent, que ce soit
physiquement, moralement ou spirituellement et même
les guérir, à condition toutefois d’y mettre toute
votre volonté et surtout votre amour. Naturellement,
vous ne demanderez à Dieu que ce qui est pour le
bien. Oui, Dieu ne donnera que ce qui est pour votre
plus grand bien. Ne croyez jamais que les malheurs
ou les ennuis qui vous arrivent sont voulus par Dieu
mais comprenez que c'est bien par le démon qui
cherche à tout détruire. Dieu ne donnera que ce qui
est le meilleur pour vous.
Ce que vous devez le plus désirer, c’est
recevoir l’Esprit-Saint qui est l’Esprit du Père et
du Fils et qui fait de vous des hommes et des femmes
lucides qui voient les choses et les personnes comme
le Seigneur Dieu les voit. Ainsi, tout comme Dieu,
ils accueillent dans la louange et l’offrande tout
bonheur et malheur.
Avec toute votre famille du Ciel, sous la
Lumière du Père éternel, tout l’Amour du Seigneur
Jésus, de Sa maman la Sainte Vierge Marie et des
frères du Ciel, je vous bénis au nom du Père, du
Fils et du Saint-Esprit.■
Chacun des événements qui intervient dans votre
vie, qu'il soit sur le plan personnel ou général est
appelé à vous dévoiler le sens profond de votre
existence. Et cela, ne serait-ce que lors d'une
maladie, d'un séjour dans un milieu hospitalier, de
la naissance ou du décès d'un membre de votre
milieux familial et même d'un ami.
Vous êtes quasiment tous confrontés un jour ou
l'autre et parfois même à plusieurs reprises à
l'épreuve de la souffrance. Dans cette expérience à
laquelle vous n'êtes presque jamais préparés, la
souffrance, la tristesse, l'abandon et même la
révolte risquent de vous dominer. De plus, dans la
culture occidentale, et pour bien des personnes, la
mort signifie le néant ou l’inconnu, c’est
généralement un sujet tabou.
Parmi vous, qui n'a pas fait un séjour dans une
clinique, un hôpital ou encore, y avez-vous
accompagné une personne ? Un passage dans ces lieux
de souffrance peut bouleverser quelque chose
d’important dans votre vie. Cela vous perturbera
peut-être, mais vous permettra de mieux comprendre
ce que vous êtes réellement par rapport à votre
prochain. De même, après le décès d'un être cher,
vous pouvez vous trouver déstabilisé et devoir
prendre un autre chemin.
Sur un lit d'hôpital, vous vous sentirez
dépourvu devant tout ce qui vous arrive. Votre corps
ne réagira plus comme vous le souhaiteriez, vous
avez arrêté votre travail, vos occupations avec
toutes les conséquences qui en découlent et c'est
alors que vous avez le sentiment de vous sentir
inutile. Que pouvez-vous faire ?
En premier temps, il est important que vous
soyez accompagné, de pouvoir compter sur quelqu’un
de confiance, qui vous comprendra, vous respectera
et surtout ne vous jugera pas. Ainsi vous concevrez
ce que vous êtes en cet instant précis, oui, que
vous êtes encore une personne bien vivante même si
vous avez subi une importante opération qui vous
rend fragile et même jusqu’à la fin de votre vie
vous imposera à prendre des médicaments.
C'est dans ces moments que vous entrez dans la
pédagogie de la confiance. Malgré votre handicap,
vous apprécierez toute la sollicitude, si ce n'est
l’amour de votre prochain, ce qui est d’une
importance capitale.
Pensez que vous êtes habité par la présence de
Dieu, présence fort discrète qui, tout en respectant
votre liberté, anime votre foi et votre espérance.
Pensez, qu'en venant parmi les hommes, le Seigneur
Dieu a pris sa place dans vos cœurs, aussi
dans les douloureux moments de dépendance, méditez
cette réalité, en particulier lorsque vous
chercherez autour de vous à vous appuyer sur du
solide. Faites toujours confiance à Dieu et vous ne
vous tromperez pas.
Un jour, comme toute personne, vous aurez
rendez-vous avec le Seigneur. Actuellement vous
préférez ne pas trop y penser. La Mort est une des
rares évidences du monde, il est inutile de vous en
inquiéter si vous avez agi en plein accord avec
votre conscience et en particulier aidé et aimé
votre prochain. Autrement, ce sera un plus ou moins
long séjour en purification.
Avec toute votre famille du Ciel, sous la
Lumière du Père éternel, tout l’Amour du Seigneur
Jésus, de Sa maman la Sainte Vierge Marie, je vous
bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. ■
Très chers amis,
Veuillez trouver ci-contre, le message de notre
petit Jean du Ciel, qui fait part de l'origine de
certaines prophéties sur la soi-disant fin du monde.1
Robert et Yvette, parents de Jean
RéCONFORT ET ESPéRANCE
Si ces derniers temps, de nombreuses voix
prophétiques se lèvent dans bien des pays, ce n’est
évidemment pas sans raison. C’est bien pour annoncer
la venue du Seigneur Jésus en plein Ciel de gloire.
Vous ressentez déjà les prémices de mouvements
dramatiques importants qui iront en s'amplifiant.
Actuellement, vous constatez que dans tous les sens,
il y a de nombreuses perturbations car l'adversaire
s'acharne fermement, car il sait bien que son temps
est compté.
Il est certain que les chamboulements qui se
préparent seront difficiles à vivre, en particulier
pour ceux qui cohabitent avec le péché, mais soyez
certains que par la suite, des événements
s’avéreront imprévus mais tellement positifs et si
merveilleux. Oui, vraiment positifs et merveilleux.
Pensez que depuis de très nombreuses
générations, les hommes ont tant abusé de leur libre
arbitre. Oui, ce don précieux que Dieu leur a donné
à la naissance a été parfois mal utilisé. Le griffu,
infatigable pour faire le mal, se sert des moindres
failles des hommes. Il cherche sans cesse à semer la
confusion en se servant de personnes malsaines qui
utilisent le nom du Seigneur en diffusant des
messages qui, à première vue, peuvent sembler vrais,
mais qui sont dé stabilisants. Pensez que les
messages de l’adversaire, s'ils sont surprenants et
provocateurs, sont créateurs d’angoisse.
Par contre, les messages venant du Seigneur
Dieu, de la Sainte Vierge Marie, des saints et de
toutes les âmes choisies, seront toujours cohérents
et en parfait accord avec les Saintes écritures. Ils
apportent réconfort et espérance. S'il est certain
que tout bébé reconnaîtra la voix de son Père, il en
est de même pour vous chrétiens qui, avec
discernement avez cette capacité de reconnaître et
ressentir la voix du Seigneur qui est votre Père, ce
Papa qui vous aime tant. Et si, malgré tout, vous
doutez encore, ouvrez la Bible, priez et vous serez
éclairés.
Particulièrement à l'égard des baptisés et grâce
à l’Esprit Saint, la vie éternelle est à l’œuvre
dans tous ceux qui, dans d'autres cultures et
religions, font sans cesse le bien.
Un bon chrétien est celui qui fréquente une
paroisse ou une communauté et y apporte d'une
manière ou d'une autre son plein concours. à cet
effet, il est si bon de voir chacun de vous,
attentif à son prochain et par la qualité des
relations entre tous, témoigner de l’intérêt du
Seigneur pour soulager ce qui fait souffrir votre
monde.
En ce Noël regardez l'enfant Jésus couché dans
la crèche, qui vous dit que vous êtes meilleur plus
que vous ne le pensez et c'est ainsi que le Seigneur
Dieu se fait découvrir dans le regard et le sourire
de cet enfant qui vient pour aimer, vous aimer.
Avec toute votre famille du Ciel, sous la
Lumière du Père éternel, tout l’Amour du Seigneur
Jésus, de Sa maman la Sainte Vierge Marie, nous vous
souhaitons un Saint et Joyeux Noël et nous vous
bénissons au nom du Père, du Fils et du
Saint-Esprit. ■
Par votre naissance, vous avez acquis le don
merveilleux de l’humanité et ainsi vous passez un
temps sur terre avant de rejoindre l'éternité qui
est votre vraie demeure. En progressant dans le
temps, vous ressentez des périodes de bonheur, mais
également vous subissez des épreuves. Ces épreuves
sont d’ordre physique, morales et même spirituelles.
En avançant dans l'âge, par votre propre expérience
et avec l’aide de votre parenté, de vos amis ou
encore mieux de prêtres, vous arrivez à dominer et à
relativiser vos épreuves temporelles.
à partir d’un certain âge et quel que soit votre
état de santé, il est certain que vos forces
diminuent. La maladie peut vous accaparer, vous
risquez d’être incompris du fait de vos réactions
dues à l'âge, et même trahis dans certains cas. Et
dans tout cela, sans compter vos souffrances intimes
que vous ne confiez à personne si ce n'est qu'à
votre directeur spirituel.
Souvent, la société considère la personne
malade, handicapée, ou le vieillard comme une
personne non rentable. Par contre par le Sacrement
des malades le Seigneur les reconnaît comme membres
à part entière de la communauté chrétienne
participant à Sa mission.
Dans votre monde actuel, au nom d’un soi-disant
droit à la vie ou bien du droit à la mort, des
courants de pensées consécutifs aux prises de
position de scientifiques ou philosophes, sont en
entière contradiction avec l’évangile. Un sacrement
est un signe et un moyen de salut pour l'homme tout
entier. C'est que Dieu vient lui-même, par
Jésus-Christ, pour soulager le malade et lui donner
sa force.
Le Seigneur Jésus lui-même dans l'évangile fait
ainsi : il guérit les malades et chasse les esprits
mauvais. Dans le monde d'aujourd'hui, l'Église qui
est le corps du Christ continue les mêmes actions
que Jésus.
Ce sacrement est le signe de toute la tendresse
de Dieu pour la personne qui souffre. Elle se trouve
réconfortée, et dans la paix et le courage, elle
sera en mesure de supporter chrétiennement les
souffrances de la maladie ou de la vieillesse, tout
comme le rétablissement de la santé et la
préparation au passage dans la vie éternelle.
Que de fois, des personnes que vous connaissez
ou que vous avez rencontrées, disparaissent.
Avez-vous eu le souci de savoir ce qui leur est
arrivé ? C'est une question de solidarité, de
charité fraternelle que de lutter contre
l’individualisme et l’indifférence.
C’est être le témoin et le porteur de l’amour du
Christ pour vos frères.
Dans le sacrement des malades, l'Église se
manifeste comme corps du Christ Jésus. Cela signifie
que le sacrement des malades est réalisable pour
tous2,
à tout âge et au moment où vous êtes confronté à la
maladie.
Avec toute votre famille du Ciel, sous la
lumière du Père éternel et tout l’amour du Seigneur
Jésus et de la Sainte Vierge Marie, je vous bénis,
au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. ■
1
NDLR: Celle qui avait été annoncée pour le 21 décembre
2012.
2 NDLR: Pour être
bien compris, ce passage doit être lu en gardant en
perspective l'enseignement de l'Église, qui précise:
"Le sacrement de l'onction des malades est conféré
aux personnes dangereusement malades (...)
(Const. apost.
"Sacram unctionem infirmorum", 30 nov. 1972)
"L'onction des malades n'est pas seulement le
sacrement de ceux qui se trouvent à toute extrémité.
Aussi, le temps opportun pour la recevoir est-il
certainement déjà arrivé lorsque le fidèle commence
à être en danger de mort à cause de la maladie par
suite d'affaiblissement physique ou de vieillesse."
(Catéchisme de
l'Église Catholique, # 1514)
"Si un malade qui a reçu l'onction recouvre la
santé, il peut, en cas de nouvelle maladie grave,
recevoir de nouveau ce sacrement. Au cours de la
même maladie, ce sacrement peut être réitéré si la
maladie s'aggrave. Il est approprié de recevoir
l'onction des malades au seuil d'une opération
importante. Il en va de même pour les personnes
âgées dont la fragilité s'accentue."
(Catéchisme de
l'Église Catholique, # 1515)
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