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Document très
important :
le Motu Proprio du Pape Benoît XVI
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- en faveur de la liturgie romaine traditionnelle -
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LA MESSE TRIDENTINE
N’EST-ELLE PAS DéFENDUE
DEPUIS VATICAN II ?
L’ancienne forme du rite romain n’a jamais été
interdite par le Concile, et ce contrairement à une
opinion largement répandue, même chez le clergé :
d’abord parce que ledit Concile s’est achevé en 1965
et que la nouvelle forme de la Messe a été
promulguée seulement en 1970 !.. Durant tout Vatican
II, c’est donc la Messe tridentine qui a été
célébrée par les Pères conciliaires. Le Pape Paul VI
a promulgué la nouvelle forme du rite latin (Nouvel
Ordo, improprement appelé dans nos pays « Messe en
français ») sans interdire l’ancienne qui n’a donc
jamais été abrogée et ne
pouvait pas l’être car les formules de la liturgie,
comme expression de la prière officielle de
l’Église, tiennent leur légitimité de leur
enracinement dans la Tradition de l’Église. Plus
leur enracinement dans la Tradition est profond,
plus les formules et rites liturgiques méritent de
respect. Il en résulte donc qu’un nouvel Ordo, même
promulgué par un souverain pontife, ne possède pas
la capacité juridique d’abolir une forme plus
ancienne, d’usage multiséculaire telle que la Messe
tridentine. Celle-ci demeure donc une forme du rite
latin romain permise et approuvée par l’Église, au
même titre que quelques autres rites latins (rite
Ambrosien et ceux de certains Ordres religieux)
ainsi qu’une vingtaine de rites orientaux
(Maronites, Byzantins, Grecs Melkites,
Syro-Malabars, etc.).
«Obéissant fidèlement à la Tradition, le saint
Concile [Vatican II] déclare que la sainte Mère
l’Église considère comme égaux en droit et en
dignité tous les rites légitimement reconnus, et
qu’elle veut, à l’avenir, les conserver et les
favoriser de toutes manières.»
(SC 4)
«Ce qui était sacré et grand pour les générations
antérieures, reste sacré et grand pour nous aussi,
et ne peut être interdit tout à coup, ou même être
considéré comme dangereux. (…)
Quant à l’usage du Missel de 1962
-Messe tridentine-,
comme Forme extraordinaire de la Liturgie de la
Messe, je voudrais attirer l’attention sur le fait
que ce Missel n’a jamais été
juridiquement abrogé, et que par conséquent,
en principe, il est toujours resté
autorisé.»
(Pape Benoît XVI,
Lettre aux évêques du monde, 7 juillet 2007)
Bien plus, Benoît XVI insiste sur le fait qu’il
n’existe pas deux rites latins romains, mais
un seul rite sous deux formes
aussi légitimes l’une que l’autre: la forme
«ordinaire»3
(Messe du Nouvel Ordo ou de Paul VI) et la
forme «extraordinaire» (Messe tridentine ou
de Pie V), le Nouvel Ordo
émergeant organiquement de ce qui
existe déjà (c’est-à-dire de la Messe
tridentine), selon l’expression même de Vatican II,
en continuité de la Tradition et non en rupture avec
elle.
« Il n’est pas convenable de parler de ces deux
versions du Missel Romain comme s’il s’agissait de
« deux Rites ». Il s’agit plutôt d’un double usage
de l’unique et même Rite. »
(Pape Benoît XVI,
Lettre aux évêques du monde, 7 juillet 2007)
C’est donc à tort qu’au lendemain de la réforme
liturgique de 1970 on s’est mis à marginaliser les
fidèles attachés à la messe traditionnelle et
conscients de leur bon droit, comme si, tout d’un
coup, on devait automatiquement se ranger d’un côté
ou l’autre de la clôture : avant ou après le
Concile !... Comme si un Concile (toujours présidé
par le Saint-Esprit, rappelons-le) pouvait être un
initiateur de rupture dans l’unité de la pensée de
l’Église… Une mauvaise interprétation du Concile,
oui. Le Concile lui-même, non.
MAIS LE CAS DES «TRADITIONALISTES» …?
Cette appellation ne devrait pas être utilisée car
elle porte à confusion, et tend à englober dans un
même concept de nombreuses personnes aux idées,
tendances et orthodoxie très variables. C’est de
l’uniformisation abusive et simpliste.
La doctrine de l’Église catholique est fondée sur
deux piliers se complétant et d’égale valeur : la
TRADITION, celle avec un grand « T » (qui comprend
l’enseignement du Christ transmis oralement depuis
les Apôtres et conservé par le Magistère de
l’Église); et la Parole de Dieu consignée par écrit
dans les livres de la BIBLE.
Il ne faut cependant pas confondre « la Tradition »
avec « les traditions », la première faisant partie
de la Révélation et étant donc immuable ; les
secondes constituant des formes d’application de la
première et étant sujettes à changement, selon les
époques. Ainsi, la reconnaissance de l’autorité
suprême du Pape sur toute l’Église Catholique fait
partie de la Tradition et ne peut pas être changée,
tandis que l’obligation, pour la femme, d’avoir la
tête couverte à l’Église, fait partie des traditions
et peut donc disparaître avec les époques, ainsi que
nous le constatons aujourd’hui en nombre de pays.
Par définition, un traditionaliste est quelqu’un
attaché à la Tradition. On peut donc logiquement
affirmer que tout Catholique sincère et éclairé est,
par le contenu de sa foi catholique même, un
traditionaliste! Ce qui n’a rien à voir avec la
signification qu’on donne couramment à ce terme, de
nos jours. Pour éviter toute ambiguïté, il est
cependant préférable de ne pas utiliser cette
appellation trop équivoque.
POURQUOI DONC UN MOTU PROPRIO?
Lorsque, en 1970, le Nouvel Ordo est devenu la forme
«ordinaire» du rite latin de l’Église Catholique
Romaine, l’usage public de la
Messe tridentine s’est restreint. Dès les débuts de
l’introduction de la nouvelle liturgie, tous les
prêtres ont été laissés libres de continuer à
utiliser l’ancienne forme du rite romain en privé.
Pour en faire usage lors de cérémonies publiques,
ils devaient obtenir la permission de l’évêque du
lieu, ce qui a souvent donné lieu à des malentendus
de part et d’autre, à des refus injustes ou des
restrictions capricieuses, au nom d’un soi-disant
«esprit Vatican II».
D’autre part, ces années ont vu apparaître un
malaise grandissant chez nombre de Catholiques qui
n’arrivaient plus à se retrouver dans un renouveau
liturgique trop souvent récupéré à des fins
idéologiques personnelles et appliqué de façon
fantaisiste et irrespectueuse de la pensée réelle de
Vatican II :
«Il y a eu des années où les fidèles qui se
préparaient à assister à un rite, à la messe
elle-même, se demandaient de quelle manière, ce
jour-là, allait se déchaîner la "créativité" du
célébrant… » se
souvient le cardinal Ratzinger, qui lui-même
déplorait déjà ces abus en 1975 en disant :
« (…) on doit s’opposer beaucoup plus fermement
qu’on ne l’a fait jusqu’à présent à l’aplatissement
rationaliste, aux vains bavardages, à l’infantilisme
pastoral, qui rabaissent la liturgie catholique au
niveau d’un club de village et veulent la réduire au
style des journaux à sensation. »4
« La liturgie n’est pas un show, un spectacle qui
ait besoin de metteurs en scène géniaux ni d’acteurs
"sympathiques ", de " trouvailles " captivantes,
mais de répétitions solennelles. Elle ne doit pas
exprimer l’actualité et ce qu’elle a d’éphémère,
mais le mystère du Sacré. (…) Dans la liturgie opère
une force, un pouvoir que même l’Église toute
entière ne saurait nous conférer : ce qui s’y
manifeste est l’absolument Autre
(c’est-à-dire Dieu.
NDLR) qui, à travers la communauté (qui n’en
est donc pas maîtresse mais servante, le simple
instrument), arrive jusqu’à nous. (…) La révolte
contre ce qu’on appelle " la vieille rigidité des
rubriques ", accusée de bannir la "créativité", a
entraîné la liturgie dans le tourbillon du " do it
yourself ", la rendant banale dans la mesure où elle
l’a réduite à notre mesure médiocre.»5
Ailleurs, celui-ci exprimait bien le sentiment de
tant de fidèles devant les abus généralisés
introduits dans la nouvelle liturgie, et qui ont
fait de cette dernière « …une certaine liturgie
post-conciliaire, devenue opaque et ennuyeuse à
cause de son goût pour le banal et le médiocre, au
point de donner le frisson… »6 Rappelons,
à la suite de Vatican II, de Paul VI et de Jean-Paul
II, que la liturgie n’appartient pas à l’individu,
même prêtre, mais qu’elle est acte d’Église, prière
officielle de l’épouse du Christ et qu’elle ne
devrait jamais être rabaissée à un acte égoïstement
individuel, considérée comme notre « chose » que
nous pouvons manipuler au gré de nos caprices.
« Absolument personne (…), pas même le prêtre, ne
peut, de son propre chef, ajouter, enlever ou
changer quoi que ce soit dans la liturgie ».7
Face à tous les abus constatés, beaucoup de
Catholiques scandalisés ont quitté l’Église,
rejetant le blâme sur Elle plutôt que sur ses
membres infidèles à ses directives… D’autres, malgré
les "blessures", ont plutôt choisi de demeurer
fidèles à l’Église et au rite traditionnel, même
avec une liberté très restreinte découlant de
l’incompréhension généralisée d’un grand nombre de
clercs et laïcs qui ont tôt fait de taxer cette
fidélité "d’entêtement relevant de l’orgueil" et de
"rébellion contre l’Église"…
Voyant cela, le pape Jean-Paul II a mis en place
diverses dispositions pour faciliter la vie aux
prêtres et fidèles se sentant spirituellement plus
proches de la liturgie tridentine que de celle du
nouvel Ordo, allant même jusqu’à promulguer, en
1984, un «Indult» permettant à ceux-ci de se grouper
en «communautés chrétiennes» de type paroissial,
soit en étant accueillis comme telles au sein de
paroisses déjà existantes (à l’image de ce que font
certains groupes ethniques catholiques, par
exemple), soit dans leur propre église et paroisse
dûment érigée, le tout demeurant sous la juridiction
de l’évêque du lieu qui accepte de les accueillir.
Au Canada, on retrouve quelques diocèses qui se sont
prévalus d’une telle disposition.
En 1988, dans le Motu proprio «Ecclesia Dei», le
Saint-Père insistait encore et exhortait les évêques
à utiliser largement et généreusement cette faculté
en faveur de tous les fidèles qui en feraient la
demande.
En Europe, où le mouvement en faveur de la liturgie
traditionnelle est beaucoup plus fort qu’au Québec,
Jean-Paul II a grandement encouragé l’expansion de
communautés religieuses de ce type, allant même
jusqu’à en élever certaines au rang d’abbaye, et y
déléguant à de nombreuses reprises des Cardinaux
parmi les plus influents du Vatican (cardinaux
Mayer, Gagnon [2007),
Medina, Castrillon Hoyos, Ratzinger...) pour y
officier Messes et liturgies dans la forme
tridentine du Rite latin romain.
Jean-Paul II a également créé la «Fraternité
St-Pierre», d’envergure internationale, pour les
prêtres et les séminaristes attachés à la liturgie
tridentine et désireux de demeurer fidèles à Rome ou
d’y revenir ; ils ont maintenant leurs propres
instituts de formation et séminaires. Plus
récemment, sous Benoît XVI, «l’Institut du
Bon-Pasteur» a vu le jour en France.
«L’Institut du Christ-Roi», fondé dans les
années ’80 par un prêtre très attaché à la Tradition
et en pleine communion avec le Saint-Siège, exerce
quant à lui une action missionnaire très marquée
(chapelles roulantes, etc.).
En guise d’appui moral non équivoque aux fidèles
catholiques attachés à la forme multiséculaire de la
liturgie romaine, une Messe pontificale dans le rite
de Saint Pie V a été célébrée publiquement par le
Cardinal Augustin Mayer, en une cathédrale de
France, il y a quelques années. Plus récemment, le
10 novembre 2006, Mgr Pascal N’Koué, évêque de
Natitingou (Bénin), a célébré cette Messe à
St-Pierre de Rome, donc dans l’église du Pape Benoît
XVI et avec sa bénédiction.
D’ailleurs, lors de son arrivée sur le siège de
Rome, une des premières directives qu’a donnée
Benoît XVI aux évêques du monde, fut de voir à
fournir au moins un endroit, dans chaque diocèse, où
cette Messe puisse être dite pour les fidèles
désireux d’y assister.
Il est étonnant de constater, en certains endroits,
la grande diversité d’âge et de milieu des fidèles
attachés à la Messe tridentine, phénomène qui a
grandement surpris les autorités de l’Église :
« Aussitôt après le Concile Vatican II, on pouvait
supposer que la demande de l’usage du Missel de 1962
– Messe tridentine
– aurait été limitée à la génération plus
âgée, celle qui avait grandi avec lui ; mais
entre-temps, il est apparu clairement que des
personnes jeunes découvraient également cette forme
liturgique, se sentaient attirées par elle et y
trouvaient une forme de rencontre avec le mystère de
la Très Sainte Eucharistie qui leur convenait
particulièrement. »
(Pape Benoît XVI, Lettre aux évêques du monde, 7
juillet 2007)
L’aspect plus « contemplatif » et évocateur du
mystère de Dieu, propre à la Messe tridentine, et sa
stabilité, comptent sans doute parmi les attraits
majeurs y attirant certains jeunes désireux de
dépasser la perspective strictement « horizontale »,
éphémère et superficielle que leur offre notre
société laïcisée actuelle.
Fidèle à sa mission d’apôtre de l’unité de l’Église,
et fort d’un discernement de sagesse dans tout le
débat qui a suivi le Concile Vatican II et la mise
en œuvre du nouvel Ordo, Benoît XVI vient, par son
autorité pontificale, rétablir en quelque sorte la
justice. En promulguant le motu proprio
8
« Summorum Pontificum » du 7 juillet 2007, il
réaffirme avec force le caractère parfaitement
catholique de la Messe romaine traditionnelle, tout
aussi légitime que la Messe du Nouvel Ordo. Il vient
ainsi tenter de colmater une brèche importante
introduite dans l’Église par un esprit de division
régnant autant chez nombre de tenants de la Messe
tridentine que chez des inconditionnels de la Messe
du Nouvel Ordo. De fait, la diversité des rites et
de leurs formes, du moment qu’ils sont approuvés par
l’Église et expriment la même Foi catholique, ne
saurait nuire à l’unité de l’Église qui reconnaît en
son sein la diversité des charismes et des
sensibilités religieuses, et les accueille en tant
que richesses véritables.
QUE DéCRèTE
LE NOUVEAU MOTU PROPRIO ?
Dans ce document, notre Saint Père Benoît XVI donne
pleine liberté à la célébration de la forme
tridentine du Rite latin, c’est-à-dire la Messe de
saint Pie V.
Il permet entre autres, aux prêtres qui le
souhaitent (et qui sont «idoines», c’est-à-dire non
empêchés de dire la Messe par une sanction de
l’Église, par exemple) de célébrer publiquement dans
ce rite en toute circonstance, sans avoir à obtenir
préalablement l’autorisation de l’évêque du lieu.
9
Seule l’autorisation du curé de l’église où se
déroulera la liturgie est requise : question de
courtoisie élémentaire et de discipline, les curés
étant fortement incités à ne pas refuser cette
permission sans motifs graves. Pour les fidèles qui
se sentiraient injustement lésés par un tel refus,
le Motu proprio prévoit un recours possible de leur
part, d’abord auprès de l’évêque du diocèse, et même
jusqu’à Rome si nécessaire, auprès de la Commission
pontificale Ecclesia Dei.
Les membres des Ordres sacrés (clergé) ont également
le droit d’utiliser le Bréviaire romain promulgué
par le pape Jean XXIII en 1962. De même, l’évêque
d’un diocèse a le droit d’ériger une paroisse
personnelle pour les célébrations selon la forme
ancienne du rite romain, ou de nommer un recteur ou
un chapelain.
On peut trouver une version française complète de ce
Motu proprio sur le site du diocèse de Bordeaux (http://catholique-bordeaux.cef.fr)
PORTéE UNIVERSELLE
DU NOUVEAU MOTU PROPRIO
On l’aura compris, tous les Catholiques doivent se
sentir concernés par ce document pontifical. D’abord
parce qu’il vient reconnaître le droit de citée de
la Messe tridentine, en tant que faisant pleinement
partie du rite latin romain et du patrimoine, encore
actuel, de l’Église. Egalement parce qu’il reconnaît
comme légitime le souhait de nombreux Catholiques de
demeurer fidèles à cette liturgie originant des
racines du Christianisme et dans laquelle leur sens
religieux trouve son épanouissement.
Il veut, par ailleurs, attirer l’attention de toute
l’Église sur les bases fondamentales de toute
réforme liturgique. En ce sens, le rite traditionnel
peut apporter des éléments essentiels pour corriger
certains abus auxquels se prête facilement le nouvel
« Ordo Missae ».
Enfin, il est à espérer que le nouveau Motu Proprio
aura un impact positif sur les relations entre Rome
et certains partisans de la Messe Tridentine qui,
dans une mauvaise conception de la fidélité à la
Tradition, se sont éloignés de la pleine communion
avec l’Église catholique. Souhaitons
qu’éventuellement on puisse voir un rapprochement
et, pourquoi pas, une totale réconciliation entre
tous les membres de l’Église catholique ainsi
qu’avec nos frères séparés.
Nous devons prier en ce sens, car il reste encore un
important bout de chemin à faire pour que se réalise
cette unité tant souhaitée par le Saint-Père et par
tous ceux qui sont attentifs à cette prière du
Christ :
« Père, que tous soient un, comme
nous sommes un ».
Marie-Chantal
_______________________
3 Les
termes « ordinaire » et « extraordinaire » doivent
être compris dans leur sens canonique. Pour donner
une comparaison, on dira que le confesseur
« ordinaire » d’une paroisse est le curé ; mais il
est courant de faire appel à un confesseur de
l’extérieur, qu’on appelle alors confesseur
« extraordinaire ». Cette appellation n’a donc rien
à voir avec leurs qualités personnelles
respectives !
4
Cité d’après Thesen zum Thema « Zehn Jahre Vaticanum
II », manuscrit dactylographié.
5
Entretiens sur la Foi, par Joseph Ratzinger et
Vittorio Messori, Ed. Fayard
6
Das Fest des Glaubens, p.88, écrit par le cardinal
Joseph Ratzinger et publié une dizaine d’années
après Vatican II.
7
Vatican II, Constitutions « de Sacra Liturgia »
chap. III a, 22, § 3.
8
Terme signifiant « de sa propre
initiative, de son mouvement propre ».
9
Précisons également que les Catholiques désireux
d’assister à une Messe, qu’elle soit Tridentine ou
du Nouvel Ordo, ont le devoir de s’assurer que le
prêtre qui la célèbre est en pleine communion avec
Rome. Cette information peut être obtenue auprès de
l’évêque ou du Chancelier du diocèse.
Sources :
Motu proprio «Summorum Pontificum»
de Benoît XVI, 7 juillet 2007. (ZENIT.org)
Lettre de Benoît XVI aux évêques, accompagnant
le Motu Proprio «Summorum Pontificum», 7 juillet
2007. (ZENIT.org)
Exhortation apostolique de Benoît XVI «Sacramentum
Caritatis» (L’Eucharistie, le Sacrement de l’Amour),
13 mars 2007.
Revue «Unam Sanctam», nos. 2, 3 et 4 de la 7e
année.
Livre «Entretien sur la Foi», par Joseph cardinal
Ratzinger et Vittorio Messori, éditions Fayard.
Lettre mensuelle «Les Amis du Monastère», Abbaye
Ste-Madeleine du Barroux, France.
Article «Eviter les interprétations erronnées et
réductrices», explications de Mgr Angelo Amato,
Rome, 10 juillet 2007. (ZENIT.org)
Article «Jean-Paul II préparait un Motu proprio
semblable»,
entretien avec le Card. Castrillon Hoyos paru dans
«Il Gior- nale», Rome, 10 juillet 2007. (ZENIT.org)
Article «Messe de "saint Pie V", messe de Paul VI»
par Nicolas Seneze.
Code de Droit canonique, édition de 1983.
Documents conciliaires de Vatican II, éditions
Fides.
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