Si vous aimez votre enfant, si vous êtes un parent
ou un grand-parent responsable, ne laissez pas votre enfant regarder la nouvelle mouture
de Passe-Partout. Pourquoi ? Parce que cette série a été conçue avec soin pour inoculer
aux enfants la nouvelle religion de l’heure : la pensée LGBT
(abréviation des mots "lesbiennes, gais, bisexuels, transgenres").
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Lorsque les médias ont annoncé en grande pompe le retour de la série
Passe-Partout version 2019, l’émission témoin a été visionnée par un nombre record de visiteurs,
adultes pour la plupart. Pour ces nostalgiques, Passe-Partout évoquait une enfance déjà lointaine.
Les jeunes fans d’autrefois sont maintenant parents ou grands-parents.
Et ce sont eux qui, à leur tour, s’apprêtent à confier la candeur de leurs enfants et petits-enfants
à l’influence de cette émission devenue un outil de destruction massive caché sous l’apparence
d’un jouet éducatif, afin d’étouffer le sens moral du plus grand nombre d’enfants possible…
En fait, nous sommes face à une tuerie spirituelle de masse chez nos tout-petits,
financée en large partie par les gouvernements du Québec et du Canada, via
le "Fonds des médias du Canada", les crédits d’impôts des deux paliers, et la collaboration de
Télé-Québec (télévision "d’état" du Québec, financée par nos impôts). La série a également profité
du financement intérimaire de la "Banque Nationale du Canada — Groupe cinéma et télévision".
Dès son lancement, les promoteurs de Passe-Partout avaient claironné
que la série s’ajusterait à l’ "évolution" de la société actuelle, en familiarisant l’enfant
avec la diversité… Or, on le sait, ce mot sous-entend surtout "diversité sexuelle"… qui se traduit,
en langage chrétien par "perversion sexuelle". En effet, la Bible, l’Église Catholique, l’Islam,
le Judaïsme… tous s’entendent pour qualifier l’homosexualité de comportement contre nature,
qui n’est pas voulu de Dieu.
La 1ère vraie émission de cette série a été diffusée le 6 mai dernier.
Le lendemain, le Journal de Montréal, sous la plume de Philippe Melbourne Dufour, en décrivait
une partie du contenu :
‟Sans tambour ni trompette, la série Passe-Partout a abordé l’homosexualité
d’un de ses personnages, franchissant une étape importante pour la diversité dans les émissions
jeunesse.
(…) Madame Coucou, la célèbre voisine de Cannelle et Pruneau
[deux marionnettes figurant de jeunes frère et sœur jumeaux. NDLR],
est venue leur présenter Cachou, son nouveau-né.
En parlant de son accouchement aux deux jumeaux
["Est-ce que Cachou est sorti de ton ventre vite vite vite?" – "Non", a répondu Mme Coucou,
"pas vite vite vite. Il a pris presque toute une journée pour sortir !" NDLR],
Madame Coucou a mentionné que son amoureuse Dorine était avec elle pour l’encourager,
ce à quoi Pruneau a répondu : "Dorine, c’est son papa ?".
Madame Coucou a alors expliqué au jeune garçon et à sa sœur que
Cachou avait deux mamans, une information qui a été très bien reçue par les deux enfants
[qui ont invité Mme Coucou et sa "conjointe" à rester pour la nuit,
leur offrant le divan du salon… NDLR].
En présentant ainsi un personnage issu de la communauté LGBT,
Passe-Partout donne la chance [???!] aux enfants
d’être exposés à plusieurs modèles de situations familiales.”
Cette propagande ne s’arrêtera pas là. Tout y passera,
y compris les transgenres, la bisexualité et, pourquoi pas, les mères porteuses
et les bébés in vitro ?
Quand on sait qu’un bambin, c’est une véritable "éponge"
qui absorbe tout ce qu’il voit et entend, le bien comme le mal...
Les spécialistes le disent : les années avant l’âge de 6 ans sont cruciales
pour la direction que prendra toute la vie du jeune, y compris sa vie morale
et spirituelle. Cette émission de propagande s’adresse aux tout-petits de 2 à 10 ans,
comme par hasard…
Cannelle, son frère jumeau Pruneau et bébé Cachou : des personnages auxquels les enfants s’identifient facilement...
Nous parents, grands-parents, éducateurs, responsables de garderies,
curés de paroisses...en un mot nous, Chrétiens, n’avons pas le droit de laisser nos enfants
baigner dans cette influence délétère, d’autant plus efficace qu’elle est concoctée par des
spécialistes de la psychologie enfantine et qu’on se sert de personnages attractifs pour
passer le message à nos tout-petits.
Il y a une façon saine d’aborder ces sujets avec nos enfants,
en temps et lieux, dans le respect de la Vérité et de la pudeur.
Pour le Chrétien, en effet, les déviations sexuelles sont gravement
contraires à la loi de Dieu. Cependant, tout en condamnant le péché, le Chrétien continue
d’aimer et de respecter le pécheur, sans pour autant l’approuver ni l’encourager.
La pensée de l’état est, au contraire, de glorifier ces déviations
(sous prétexte de respect des différences) en les faisant accepter et considérer comme normales,
légitimes, un choix de vie parmi d’autres.
Dans cette philosophie pervertie, c’est Dieu qui devient le méchant,
le Chrétien qui devient l’anormal et l’intolérant, le parent qui devient le tortionnaire
de son enfant s’il lui refuse le "droit" de changer de sexe ou de se lancer dans des expériences
précoces ou déviantes.
Qu’est-ce que nous voulons faire de nos jeunes ?
Des obsédés sexuels repliés sur leur "petit moi" ; ou des jeunes équilibrés,
libres et heureux parce que vivant dans la vérité de Dieu ?
Parents, grands-parents, faisons les bons choix pour l’âme de nos enfants.
Il en va de leur bonheur et du nôtre, dès ici-bas et dans l’éternité.
Refusons Passe-Partout. ■
Christiane De Foy
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